On va pas se mentir : cette sensation de panique quand tu vois du sang "là en bas", on l'a tous connue au moins une fois. Tu te regardes, tu comprends pas trop comment c'est arrivé, et surtout tu te demandes comment tu vas expliquer ça (et à qui) si jamais ça s'infecte ou empire.
Selon nos échanges avec la communauté billy, environ 7 personnes sur 10 se sont déjà coupées aux parties intimes. Et le truc, c'est que toutes les zones ne se valent pas face au risque de coupure. Certaines sont carrément des pièges.
Aujourd'hui, on fait le tour des 5 zones les plus dangereuses quand on parle d'entretien intime. Pourquoi elles sont à risque, comment elles nous piègent, et surtout comment les aborder sans finir avec des pansements partout (ou aux urgences dans les cas extrêmes).
Petit tour guidé des zones de combat...
Se couper le pubis : l'accident le plus fréquent
Le pubis, c'est souvent par là qu'on commence. C'est la zone la plus "accessible", celle qu'on voit facilement dans le miroir. Mais voilà le paradoxe : c'est aussi là qu'on se coupe le plus souvent.
Si tu t'es déjà coupé au pubis, t'es loin d'être seul. C'est même presque un rite de passage (malheureusement) qu'on connait tous plus ou moins tôt dans la vie.
Pourquoi c'est risqué
Le pubis, ça a l'air simple comme ça, mais en vrai c'est un piège. D'abord, y'a le relief naturel : le mont de vénus chez certains, l'os pubien juste en dessous chez tout le monde. Résultat : la peau n'est jamais vraiment plate.
Ensuite, les poils pubiens sont souvent épais et drus. Ils résistent, ils tirent, et du coup on a tendance à appuyer fort avec le rasoir. Mauvaise idée : la peau du pubis bouge, elle est difficile à maintenir tendue, et dès qu'on force un peu trop, c'est la coupure garantie.
Le pire, c'est que c'est une zone visible. On veut un résultat "parfait", alors on insiste, on repasse 3, 4, 5 fois au même endroit. Et là, boom : irritations et coupures dose maximum.
En 2026, on devrait avoir compris qu'insister avec un rasoir classique sur cette zone, c'est pas une bonne idée.
Les erreurs classiques qui font saigner
Parlons des classiques du genre. Raser contre le sens du poil dès le premier passage, parce qu'on veut que ce soit "bien lisse". Passer cinq fois au même endroit parce que "il reste des poils". Utiliser un vieux rasoir qui accroche et qui tire. Se raser à sec "parce que c'est plus rapide".
Situation ultra classique : le mec ou la nana qui se rase debout sous la douche, sans vraiment voir ce qu'il/elle fait, en mode automatique. Résultat : une belle entaille qu'on découvre en sortant, quand l'eau arrête de couler et que le sang prend le relais.
La solution billy
Avec une tondeuse intime, le game change complètement. Déjà, y'a pas de contact direct entre la lame et ta peau. La lame céramique reste protégée, elle coupe les poils sans pouvoir accrocher ta peau.
Ensuite, tu as plusieurs hauteurs de coupe. Et ça, c'est crucial : tu n'es pas obligé de tout raser à 0mm pour avoir un résultat stylé. Tu peux commencer à 6mm, voir ce que ça donne, descendre à 3mm si tu veux. Pas besoin de jouer ta vie pour être bien.
L'utilisation sous la douche, c'est OK si la tondeuse est waterproof (spoiler : billy l'est). Mais même sous la douche, tu vois ce que tu fais grâce à la LED intégrée. Fini le rasage à l'aveugle.
Pour le pubis, notre conseil : commence par une hauteur de 9mm pour voir ce que ça donne, teste, ajuste. Pas toujours besoin d'être à 0 pour être stylé. Le confort avant la perfection. En démarrant à 9mm, ça te laisse la possibilité de raccourcir ou raser, créer des formes etc ... selon le style que tu souhaites.
Si tu veux approfondir le sujet, on a un guide complet du rasage intime avec tous les mythes et les vraies techniques qui marchent.
Les testicules : la zone la plus à risque de coupure
Avouons-le : les testicules, c'est LA zone qui fait flipper. Personne n'est vraiment à l'aise la première fois qu'il faut les raser. Et en 2026, ça reste la zone numéro un en termes d'angoisse de rasage.
Le truc, c'est que beaucoup de gens veulent ou doivent le faire. Pour le confort, pour l'hygiène, pour l'esthétique, pour se sentir bien avant un moment intime. Mais entre vouloir et savoir comment faire sans finir aux urgences, y'a un monde.
Pourquoi c'est LA zone dangereuse
L'anatomie des testicules, c'est juste pas fait pour être rasé avec un rasoir classique. La peau est ultra fine, extensible, et plissée. Tu peux pas la tendre correctement comme tu ferais sur une joue ou une jambe.
Les bourses bougent constamment. Y'a le réflexe crémaster qui fait que les testicules montent et descendent selon la température ou le stress. Le relief change en permanence selon ta position, la température ambiante, ton niveau de détente.
Et puis y'a les zones d'ombre. Tu peux pas voir tous les angles en même temps, même avec un miroir. Impossible d'éclairer correctement avec une lumière classique de salle de bain. Résultat : tu te retrouves à raser des zones que tu vois pas vraiment, en espérant que ça se passe bien.
Ajoute à ça le stress naturel (parce que franchement, qui est zen avec une lame près de ses testicules ?), et tu as la recette parfaite pour trembler et te couper.
Petit tableau de la situation classique : le mec qui essaie de tendre la peau d'une main, tenir le rasoir de l'autre, dans une position digne d'un contorsionniste, en priant pour que ça se passe bien. Spoiler : ça se passe rarement bien. Coupure + panique + serviette de bain fichue.
Les coupures aux testicules : pourquoi c'est l'enfer
Une coupure aux testicules, c'est pas comme une coupure ailleurs. Déjà, ça saigne beaucoup parce que la zone est très vascularisée. Tu te dis que tu vas vider ton sang pendant que l'eau de la douche dilue tout et que ça ressemble à une scène de crime.
Ensuite, ça fait vraiment mal. Zone ultra sensible + coupure = douleur immédiate et persistante. Et ça cicatrise lentement parce que tes vêtements frottent en permanence contre la zone. Slip, boxer, pantalon : tout devient une source d'inconfort.
Y'a aussi l'angoisse de l'infection. Une plaie ouverte dans une zone chaude, humide, avec des bactéries naturellement présentes... C'est pas l'idéal. Et impossible de "montrer" facilement la blessure si jamais tu dois consulter. "Alors docteur, je me suis coupé les couilles en me rasant" reste une phrase difficile à prononcer et encore, pour la majorité des gens, montrer la coupure sera sûrement encore plus génant.
L'impact psychologique est réel aussi : tu as peur de recommencer. Des gens arrêtent complètement de s'entretenir après une mauvaise expérience.
La vraie solution en 2026
En 2026, on a enfin des outils conçus spécifiquement pour cette zone. Une tondeuse intime avec lame céramique anti-coupure, c'est pas du marketing, c'est une vraie différence technique.
Le design suit les reliefs du corps sans accrocher. La lame reste protégée, elle ne peut pas entrer en contact direct avec la peau, même sur les zones les plus délicates. Tu passes la tondeuse, elle coupe les poils, point.
La lumière LED intégrée, c'est le game changer absolu pour les testicules. Tu vois enfin ce que tu fais, même sur les zones d'ombre. Fini le rasage à l'aveugle en croisant les doigts.
La technique : tu tends légèrement la peau (sans forcer), tu passes la tondeuse doucement, tu laisses l'outil faire le travail. Et surtout : pas besoin d'être à 0mm sur les testicules. Un 6mm ou un 3mm, c'est déjà largement suffisant pour le confort et l'esthétique. La lame céramique fait le job en douceur.
Le fait que ce soit waterproof te permet de le faire sous la douche, dans une position confortable, détendu. Pas de stress, pas de contorsion bizarre.
Pro tip pour les testicules : prends ton temps, utilise la LED, et pense confort plutôt que perfection. Un 3mm bien fait, c'est 1000 fois mieux qu'un 0mm avec des coupures et trois jours de douleur.
On a un guide complet pour se raser les testicules sans risque si tu veux tous les détails techniques et les positions qui marchent. Et si tu te poses encore la question, oui, tu peux utiliser billy sur le scrotum en toute sécurité.
Le sillon interfessier : mission quasi impossible sans se blesser
Le SIF (sillon interfessier pour les intimes), c'est la zone dont personne ne parle. Mais dans les faits, beaucoup de gens veulent l'entretenir. Pour le confort (surtout en été ou quand on fait du sport), pour l'hygiène, pour l'esthétique aussi.
On va pas se mentir : c'est compliqué. Et avec un rasoir classique, c'est carrément dangereux.
Pourquoi c'est galère (et risqué)
L'accessibilité, c'est zéro. Tu peux pas voir ce que tu fais, même avec des contorsions dignes du Cirque du Soleil. C'est un relief en creux, avec une peau fine, et des poils qui poussent dans tous les sens.
La zone est naturellement humide, donc un rasoir glisse facilement. Tu as un angle mort total sans miroir (et même avec un miroir, good luck). Le risque de coupure est élevé, et en bonus tu peux aussi te retrouver avec des poils incarnés au même endroit. Le jackpot.
Petite situation réaliste pour illustrer : t'es là avec un miroir posé au sol, une jambe sur le rebord de la baignoire, l'autre en équilibre instable, un rasoir dans une main et ton téléphone avec la lampe torche dans l'autre. Si quelqu'un rentre dans la salle de bain à ce moment-là, tu ressembles à un personnage de film d'horreur en pleine crise existentielle.
Résultat de cette acrobatie : souvent c'est raté, souvent tu te coupes, et parfois les deux en même temps.
Les conséquences d'une coupure au SIF
Une coupure dans le sillon interfessier, c'est l'enfer au quotidien. Tu as mal à chaque fois que tu t'assois. Chaque. Fois. Au bureau, en voiture, sur le canapé : tout devient une épreuve.
La cicatrisation est ultra lente parce que la zone est en frottement constant. Impossible de mettre une compresse correctement (ça tient pas, ça glisse). Si tu fais du vélo, du running, ou même juste de la marche rapide, tu vas souffrir.
Et le pire : tu peux en parler à personne. C'est déjà tabou de parler d'entretien intime, alors parler d'une coupure entre les fesses... On se retrouve à souffrir en silence en se demandant quand ça va enfin cicatriser.
La solution technique
Une tondeuse intime avec un manche ergonomique et une tête qui s'adapte aux reliefs, ça change absolument tout pour cette zone. Tu n'as plus besoin de voir : tu sens l'outil qui suit les formes de ton corps.
La LED intégrée reste indispensable pour vérifier que tu passes bien partout, même si tu travailles un peu à l'aveugle. Et le fait que la lame soit protégée te permet de passer sur des zones difficiles sans risquer la coupure.
La technique : tu te mets debout, légèrement penché en avant (pas besoin de gymnastique), et tu passes la tondeuse lentement. L'outil fait le travail. Tu peux utiliser un miroir au mur (pas au sol, pitié) pour vérifier le résultat si tu veux.
Et surtout : pas besoin de chercher le 0mm dans le sillon interfessier. Un 3mm ou un 6mm, c'est parfait pour le confort et l'hygiène. Vouloir du 0mm ici, franchement, c'est chercher les ennuis. Trust me.
Si le sujet t'intéresse, on a des infos détaillées sur comment tondre entre les fesses sans se mettre en danger.
Le périnée : l'endroit qu'on oublie (et qui saigne)
Le périnée, c'est cette zone entre les testicules et l'anus (ou entre la vulve et l'anus selon l'anatomie). Une zone souvent oubliée dans la routine d'entretien intime.
Pourtant, les poils y poussent aussi. Et quand on s'en souvient, c'est souvent trop tard : on s'est déjà coupé.
Pourquoi on s'y coupe
Le périnée, c'est une zone ultra sensible avec une peau très fine. Difficile d'accès, impossible à voir naturellement sans miroir et contorsion. Les poils y sont souvent plus fins, mais la peau est encore plus fragile que sur les testicules.
On y pense en dernier, quand on fait une "session complète". Résultat : on est déjà fatigué de la séance de rasage, on veut finir vite, et c'est là qu'on fait un geste brusque.
Avec un rasoir classique, l'angle est bizarre, la pression est mal contrôlée. Y'a des petits plis dans la peau, des reliefs qu'on voit pas. Et voilà comment on se coupe.
Situation classique : tu finis de te raser tranquille, tu rinces à l'eau, et là tu sens cette petite brûlure weird. Tu te dis "c'est rien". Tu te regardes (miroir, contorsion niveau expert), et boom : du sang.
Félicitations, tu viens de découvrir que tu as un périnée. Et maintenant tu vas y penser pendant une semaine à chaque mouvement.
Pourquoi c'est problématique
Le périnée, c'est une zone de frottement intense. Slip, boxer, pantalon : tout frotte. Si tu fais du vélo, du sport, ou même juste si tu marches beaucoup, tu vas sentir passer.
La transpiration dans cette zone ralentit la cicatrisation. Le risque d'infection est plus élevé qu'ailleurs. La douleur persiste pendant plusieurs jours, parfois une semaine.
Marcher devient un sport extrême. S'asseoir, un challenge. Et impossible d'expliquer pourquoi tu marches bizarrement au bureau.
L'approche intelligente
Une tondeuse intime légère et maniable, c'est le minimum pour cette zone. Ne cherche surtout pas le 0mm absolu sur le périnée. C'est pas nécessaire, et c'est risqué.
La technique : assis sur le bord de la baignoire ou de la douche, l'accès est plus facile et plus naturel. Tu passes la tondeuse une seule fois, lentement, sans appuyer. Tu n'insistes pas.
Utilise la LED pour identifier précisément la zone et voir où tu passes. Si tu hésites sur une partie : laisse 6mm, c'est déjà nickel pour le confort et l'hygiène.
Le périnée n'est pas une compétition. Entretenu vaut mieux que rasé de près. Confort vaut mieux qu'esthétique extrême. On a plus d'infos sur comment raser le périnée avec billy si tu veux creuser le sujet.
L'aine et les plis : les coupures sournoises qu'on ne voit pas venir
L'aine, c'est cette jonction entre la cuisse et le pubis. Les plis, c'est là où la jambe se plie quand tu marches. Des zones "de transition" qu'on a tendance à négliger.
Pourtant, les coupures y sont fréquentes. Et elles sont vicieuses.
Pourquoi c'est sournois
La peau de l'aine est mobile : elle bouge avec tes mouvements. Y'a des plis naturels qui cachent des zones de peau particulièrement fine. On y pense pas spécialement, donc on y va pas délicatement. On rase le pubis, on rase les cuisses, et entre les deux on fait un peu n'importe quoi.
Les poils ne s'arrêtent pas net à un endroit précis. Y'a un dégradé naturel difficile à gérer avec un rasoir. La lame accroche dans les plis, surtout si tu utilises un rasoir classique.
L'élasticité de la peau joue des tours : ce qui semblait plat quand tu étais dans une position devient un relief dès que tu bouges. Et la transpiration dans cette zone fait glisser le rasoir de manière imprévisible. Coupure garantie.
Situation classique : tu te rases debout, jambe tendue. Ça a l'air nickel. Tu plies la jambe après : surprise, t'as loupé des zones. Tu repasses rapidement = tu te coupes dans le pli.
Le lendemain, chaque pas te le rappelle. Monter des escaliers devient une aventure. Mettre un jean serré, un cauchemar.
Les conséquences spécifiques
Le frottement constant du slip ou du boxer sur la coupure, ça empêche la cicatrisation normale. La coupure "se rouvre" à chaque mouvement de la journée : marcher, s'asseoir, se lever, croiser les jambes.
Ça devient rouge, irrité. Ça ressemble parfois à une irritation ou même une mycose, ce qui rajoute l'angoisse de "c'est quoi ce truc".
Si t'es en période de maillot de bain (plage, piscine), la zone est visible. Tu te retrouves avec une rougeur ou une croûte bien visible à la limite du maillot. L'angoisse sociale en bonus.
Difficile de mettre une compresse : ça tient pas avec les mouvements. La cicatrisation prend facilement une semaine, parfois plus si tu continues à bouger normalement (ce qui est impossible à éviter).
La technique qui marche
Une tondeuse avec une tête qui s'adapte aux courbes du corps, c'est la base pour l'aine. La technique : tu gardes la jambe légèrement pliée, dans une position naturelle. Pas besoin de tendre à fond comme un athlète.
Tu cherches pas la perfection dans les plis. Laisser 3mm dans les zones de forte friction, c'est intelligent. Ça évite les irritations et les coupures, et ça reste invisible sous les vêtements.
Passe dans plusieurs directions parce que le poil pousse un peu en étoile dans cette zone. Pas de panique si tu vois que ça reste un peu plus long dans un pli : c'est normal, et c'est mieux que de t'acharner et finir avec une coupure.
Après le rasage, sèche bien la zone. L'humidité résiduelle + les frottements = irritation assurée.
Pour l'aine, la règle est simple : si ça tire ou si ça accroche, arrête immédiatement. C'est que ton outil n'est pas adapté à cette zone. Point.
Si tu veux un comparatif complet des différentes options, on a un guide ultime des tondeuses intimes pour hommes qui couvre tous les cas de figure.
En 2026, on peut éviter tout ça
Récapitulons les 5 zones à risque :
Pubis : accidents fréquents par excès de zèle. On veut du parfait, on insiste, on se coupe.
Testicules : la zone la plus flippante et objectivement la plus dangereuse avec un rasoir classique.
Sillon interfessier : mission impossible avec un rasoir, angle mort total, contorsions ridicules.
Périnée : la zone qu'on oublie et qui se venge douloureusement.
Aine et plis : les coupures sournoises qui pourrissent le quotidien pendant une semaine.
Le pattern commun
Si tu regardes bien, toutes ces zones partagent les mêmes caractéristiques : peau fine + reliefs complexes + angles morts. C'est mathématique : un outil inadapté dans ces conditions = accident garanti.
Le rasoir classique a été conçu pour le visage. Une surface relativement plate, visible, accessible. Pas pour des zones avec des reliefs changeants, des plis, des angles impossibles et une peau ultra fine.
En 2026, on a enfin des outils spécifiquement conçus pour les zones intimes. Des tondeuses avec des lames protégées, des designs qui suivent les courbes du corps, de l'éclairage intégré pour voir ce qu'on fait.
La vraie question : pourquoi continuer à prendre des risques avec des outils pas adaptés ?
Le message billy
Chacun fait ce qu'il veut : rasé, tondu, naturel. On est absolument pas là pour te dire comment tu dois gérer tes poils. C'est ton corps, ton choix, ton style.
Mais si tu choisis de t'entretenir les parties intimes, autant le faire bien. Sans risque, sans stress, sans finir avec des coupures qui gâchent ta semaine.
Une tondeuse intime, c'est pas un gadget marketing. C'est une vraie différence en termes de sécurité. Design étudié pour les zones sensibles, lame céramique protégée qui ne peut pas te couper, LED intégrée pour enfin voir ce que tu fais.
Parce que se couper les couilles (littéralement), c'est plus une fatalité en 2026.
Tu veux creuser le sujet ? On a un guide complet du rasage des testicules sans risque et plein d'autres ressources sur le blog.
Et toi, c'est quelle zone qui te pose le plus de problèmes ? Raconte-nous en commentaire (ou pas, on comprend que ce soit pas facile à partager).
Les questions qu'on se pose sur les coupures intimes
Quelle est la zone la plus dangereuse à raser ?
Les testicules remportent objectivement le titre de zone la plus dangereuse. La peau y est plus fine qu'ailleurs, le relief change constamment, et la vascularisation importante fait que ça saigne beaucoup en cas d'accident.
Mais le sillon interfessier arrive en deuxième position à cause de l'accessibilité quasi nulle. C'est pas tant que c'est plus dangereux anatomiquement, c'est que tu peux pas voir ce que tu fais.
Chaque zone a ses pièges spécifiques. Le "danger" dépend aussi énormément de l'outil utilisé. Avec un rasoir classique, toutes ces zones sont risquées. Avec une tondeuse intime adaptée, toutes deviennent beaucoup plus safe.
Que faire si je me coupe aux parties intimes ?
Première chose : pas de panique. Ça saigne toujours beaucoup aux parties intimes parce que la zone est très vascularisée. C'est impressionnant mais souvent pas aussi grave que ça en a l'air.
Rince à l'eau claire tiède (pas chaude). Applique une compresse propre avec une pression douce pendant 2-3 minutes. Pas besoin d'appuyer comme un malade, juste une pression constante.
Utilise un antiseptique doux si tu en as. Évite l'alcool pur : ça va brûler comme l'enfer et c'est pas nécessaire. Un antiseptique type Biseptine ou équivalent fait le job.
Si ça continue de saigner après 10 minutes de pression : consulte. Vraiment. C'est rare, mais ça peut arriver, et c'est pas le moment de jouer les héros.
Surveille les signes d'infection dans les jours qui suivent : rougeur qui s'étend, chaleur inhabituelle, douleur qui augmente au lieu de diminuer, écoulement bizarre. Si tu observes ça : consultation obligatoire.
Et surtout : pas de rasage pendant au moins une semaine sur la zone blessée. Laisse cicatriser complètement.
Comment éviter les coupures avec une tondeuse ?
Déjà, choisis une tondeuse intime, pas une tondeuse à barbe ou une tondeuse "corps" générique. La différence technique est énorme en termes de protection de la peau.
Une lame céramique anti-coupure, c'est pas du marketing. La céramique reste affûtée plus longtemps et le design de protection empêche le contact direct avec la peau.
Commence toujours par une hauteur de coupe élevée (6mm par exemple). Tu testes, tu vois le résultat, et tu descends progressivement si tu veux. Aller direct à 0mm, c'est prendre des risques inutiles.
Passe lentement, sans appuyer. La tondeuse fait le travail toute seule, tu es juste là pour la guider. Si tu dois forcer ou appuyer, c'est que quelque chose cloche (lame usée, outil inadapté, poils trop longs).
Utilise la LED intégrée pour voir exactement ce que tu fais. C'est pas un détail, c'est carrément un game changer sur les zones difficiles d'accès.
La peau doit être propre. Soit sèche si tu fais ça hors douche, soit sous la douche si ta tondeuse est waterproof. Les deux marchent, c'est juste une question de préférence.
La billy a été conçue exactement pour ça : utilisation safe sur toutes les zones sensibles.
Est-ce qu'une tondeuse intime peut quand même couper ?
Une tondeuse intime de qualité : le risque est quasi nul. Le design est fait pour que la lame ne touche jamais directement ta peau. Y'a un système de protection intégré, une distance maintenue entre la lame et l'épiderme.
C'est très différent d'une tondeuse classique ou d'une tondeuse à barbe. Ces dernières sont conçues pour des zones plates et visibles, pas pour des zones sensibles avec des reliefs.
Attention aux "tondeuses corps" bas de gamme qu'on trouve en supermarché. Elles sont souvent moins protégées, avec des systèmes de sécurité moins développés.
billy a été spécifiquement conçue pour les zones intimes : lame céramique protégée, design qui épouse les formes, impossible pour la lame d'entrer en contact direct avec la peau. On peut l'utiliser sur les zones les plus sensibles sans risque.
Combien de temps met une coupure intime à cicatriser ?
Ça dépend de la profondeur et surtout de la zone.
Une micro-coupure superficielle : 3 à 5 jours en général. C'est désagréable mais ça passe assez vite.
Une coupure moyenne (qui a bien saigné) : 7 à 10 jours. Ça reste sensible pendant environ une semaine.
Selon la zone, ça peut être plus long. Les testicules et le périnée cicatrisent plus lentement à cause des frottements constants avec les vêtements. Le sillon interfessier aussi parce que la zone reste humide et en mouvement permanent.
Les facteurs qui influencent la cicatrisation : l'hygiène (garde la zone propre et sèche), les vêtements (évite les trucs trop serrés pendant la cicatrisation), l'activité physique (le sport intense ralentit la guérison).
Si y'a pas d'amélioration visible après une semaine, ou si ça empire : consulte un médecin. Une infection peut se développer et là ça devient plus sérieux.
La bonne nouvelle : avec les bons outils, tu peux complètement éviter ce problème. Une tondeuse intime élimine quasi totalement le risque de coupure, donc pas de cicatrisation à gérer.





















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